Profil deMademoiselle Maeve
Mademoiselle Maeve
AZAY-SUR-CHER
Calculez votre compatibilité avecMademoiselle Maeve !
Présentation
Je suis Tourangelle (Bretonne expatriée, en réalité) et passionnée de livres depuis toujours. Depuis que je sais lire, en fait. Depuis que j’ai cinq ans. Et cela fait longtemps… Petite, quand on m’a demandé ce que je voulais faire plus tard, j’ai répondu: « lire tous les livres ». J’ai vite réalisé que ce serait impossible, mais je lis tout de même beaucoup!
Quand j’ai un coup de cœur, je veux le partager. Je conseille mes livres favoris à tous mes proches. Parfois, je regrette de ne pas travailler...
voir plus
Je suis Tourangelle (Bretonne expatriée, en réalité) et passionnée de livres depuis toujours. Depuis que je sais lire, en fait. Depuis que j’ai cinq ans. Et cela fait longtemps… Petite, quand on m’a demandé ce que je voulais faire plus tard, j’ai répondu: « lire tous les livres ». J’ai vite réalisé que ce serait impossible, mais je lis tout de même beaucoup!
Quand j’ai un coup de cœur, je veux le partager. Je conseille mes livres favoris à tous mes proches. Parfois, je regrette de ne pas travailler dans une bibliothèque, mais j’ai tout de même la chance d’avoir un métier qui me permet d’écrire.
J’aime les polars, la littérature contemporaine, classique, jeunesse, pour fille (j’avoue). Je suis moins portée sur la poésie, les essais, biographie et la littérature allemande, qui le donne l’impression de tout voir en gris.
Quand j’achète (ce qui arrive souvent) ou que j’emprunte un livre à la bibliothèque (je possède deux cartes), je vais souvent (enfin presque toujours) chercher des avis, des conseils, des informations sur l’auteur et sa bibliographie sur internet. J’ai décidé de me lancer. D’écrire sur mes lectures. D’écrire juste pour moi et pas parce que l’on me l’a demandé.
voir moins
Mademoiselle Maeve sur myLib
Mademoiselle Maeve a rejoint la communautéil y a 7 ans.
Dernière connexionil y a 4 ans.
Score mensuel :
Genre(s) préféré(s)
Thriller, Horreur, Epouvante
Aperçu de sa bibliothèque
Son actualité
Statut
Mademoiselle Maeve n'a pas encore publié de statut
Après ma lecture audio de La coupure de Fiona Barton avec Audible, j’avais envie d’un thriller. Je savais que j’allais faire un peu de route toute seule et c’était le moment de me plonger dans une histoire prenante. Après avoir fait un petit tour dans le catalogue, je suis tombée sur La disparue de la...
Après ma lecture audio de La coupure de Fiona Barton avec Audible, j’avais envie d’un thriller. Je savais que j’allais faire un peu de route toute seule et c’était le moment de me plonger dans une histoire prenante. Après avoir fait un petit tour dans le catalogue, je suis tombée sur La disparue de la cabine n°10 de Ruth Ware et j’ai su que ce n’était plus la peine que je regarde d’autres titres, c’est celui-ci qu’il me fallait. J’ai un gros faible pour les histoires se déroulant durant des croisières (on pourrait croire que ça vient de Mort sur le Nil d’Agatha Christie, mais je crains que ce soit plus lié à La croisière s’amuse et à Par-dessus bord, le premier roman de Carol Higgins Clark que j’ai lu au collège).
Laura Blacklock doit remplacer sa chef lors d’un voyage de presse sur l’Aurora, un bateau de croisière de luxe. C’est sa chance d’avoir une promotion. Mais quelques jours avant le départ, elle se fait cambrioler alors qu’elle était dans son appartement. Cette intrusion la perturbe. Elle cauchemarde et confond son copain avec un agresseur, l’assommant avec une lampe. Elle est encore un peu effrayéee en embarquant à bord de l’Aurora, mais elle doit absolument se faire des contacts, sinon adieu la promotion.
La première nuit à bord, elle est réveillée en sursaut par un bruit. Celui d’un corps que l’on jette à l’eau. Mais personne ne semble la croire. D’autant plus qu’il ne manque personne à bord. Sauf sa voisine de cabine qu’elle semble être la seule à avoir vue. Une cabine totalement vide…
J’ai écouté cette histoire lors d’un long trajet et j’ai été complètement captivée. La voix d’Alice Taurand y est pour beaucoup. J’adorerais avoir sa voix, je suis certaine que je captiverais mon auditoire à chaque fois que j’ouvrirais la bouche.
J’ai beaucoup aimé la construction du roman avec les mails et les conversations insérés entre les différentes parties du roman, qui laissent penser que l’enquête de Laura a mal tourné. Qu’à force de parler de cette femme que personne ne semblait avoir vu, quelqu’un a décidé de la faire taire.
Pour avancer dans cette histoire, j’ai même décidé de ne pas prendre l’autoroute pour rentrer, de passer par les petites routes afin de passer plus de temps avec Laura Blacklock. J’ai comme l’impression que ça veut dire que cette histoire m’a convaincue. Même si en réfléchissant bien, il n’y a pas tant de rebondissements que ça, c’est surtout l’aspect psychologique et la voix d’Alice Taurand qui m’ont séduite. Et la fin. Je n’en dis pas plus.
Être témoin d'un meurtre ? Angoissant. Que personne ne vous croie ? Terrifiant. Une semaine à bord d'un yacht luxueux, à silloner les eaux de Grand Nord avec seulement une poignée de passagers. Pour Laura Blacklock, journaliste pour un magazine de voyage, difficile de rêver d'une meilleure occasion de...
Être témoin d'un meurtre ? Angoissant. Que personne ne vous croie ? Terrifiant. Une semaine à bord d'un yacht luxueux, à silloner les eaux de Grand Nord avec seulement une poignée de passagers. Pour Laura Blacklock, journaliste pour un magazine de voyage, difficile de rêver d'une meilleure occasion de s'éloigner au plus vite de la capitale anglaise. D'ailleurs, le départ tient toutes ses promesses : le ciel est clair, la mer est calme et les invités très sélects de l' Aurora rivalisent de jovialité. Le champagne coule à flot, les conversations ne manquent pas de piquant et la cabine est un véritable paradis sur l'eau. Mais dès le premier soir, le vent tourne. Laura, réveillée en pleine nuit, voit la passagère de la cabine adjacente être passée par-dessus bord. Le problème ? Aucun voyageur, aucun membre de l'équipage ne manque à l'appel. L' Aurora poursuit sa route comme si de rien n'était. Le drame ? Laura sait qu'elle ne s'est pas trompée. Ce qui fait d'elle l'unique témoin d'un meurtre, dont l'auteur se trouve toujours à bord...
Être témoin d'un meurtre ? Angoissant. Que personne ne vous croie ? Terrifiant. Une semaine à bord d'un yacht luxueux, à silloner les eaux de Grand Nord avec seulement une poignée de passagers. Pour Laura Blacklock, journaliste pour un magazine de voyage, difficile de rêver d'une meilleure occasion de...
Être témoin d'un meurtre ? Angoissant. Que personne ne vous croie ? Terrifiant. Une semaine à bord d'un yacht luxueux, à silloner les eaux de Grand Nord avec seulement une poignée de passagers. Pour Laura Blacklock, journaliste pour un magazine de voyage, difficile de rêver d'une meilleure occasion de s'éloigner au plus vite de la capitale anglaise. D'ailleurs, le départ tient toutes ses promesses : le ciel est clair, la mer est calme et les invités très sélects de l' Aurora rivalisent de jovialité. Le champagne coule à flot, les conversations ne manquent pas de piquant et la cabine est un véritable paradis sur l'eau. Mais dès le premier soir, le vent tourne. Laura, réveillée en pleine nuit, voit la passagère de la cabine adjacente être passée par-dessus bord. Le problème ? Aucun voyageur, aucun membre de l'équipage ne manque à l'appel. L' Aurora poursuit sa route comme si de rien n'était. Le drame ? Laura sait qu'elle ne s'est pas trompée. Ce qui fait d'elle l'unique témoin d'un meurtre, dont l'auteur se trouve toujours à bord...
Être témoin d'un meurtre ? Angoissant. Que personne ne vous croie ? Terrifiant. Une semaine à bord d'un yacht luxueux, à silloner les eaux de Grand Nord avec seulement une poignée de passagers. Pour Laura Blacklock, journaliste pour un magazine de voyage, difficile de rêver d'une meilleure occasion de...
Être témoin d'un meurtre ? Angoissant. Que personne ne vous croie ? Terrifiant. Une semaine à bord d'un yacht luxueux, à silloner les eaux de Grand Nord avec seulement une poignée de passagers. Pour Laura Blacklock, journaliste pour un magazine de voyage, difficile de rêver d'une meilleure occasion de s'éloigner au plus vite de la capitale anglaise. D'ailleurs, le départ tient toutes ses promesses : le ciel est clair, la mer est calme et les invités très sélects de l' Aurora rivalisent de jovialité. Le champagne coule à flot, les conversations ne manquent pas de piquant et la cabine est un véritable paradis sur l'eau. Mais dès le premier soir, le vent tourne. Laura, réveillée en pleine nuit, voit la passagère de la cabine adjacente être passée par-dessus bord. Le problème ? Aucun voyageur, aucun membre de l'équipage ne manque à l'appel. L' Aurora poursuit sa route comme si de rien n'était. Le drame ? Laura sait qu'elle ne s'est pas trompée. Ce qui fait d'elle l'unique témoin d'un meurtre, dont l'auteur se trouve toujours à bord...
J’ai lu Trancher, premier roman d’Amélie Cordonnier, grâce au comité de lecture de Cultura de Chambray-lès-Tours. Et j’étais ravie de pouvoir le lire, car ce roman était dans ma wish-list depuis ma lecture de la chronique de Sybil, alias Un brin de Syboulette. Puis cette envie s’est confirmée en lisant...
J’ai lu Trancher, premier roman d’Amélie Cordonnier, grâce au comité de lecture de Cultura de Chambray-lès-Tours. Et j’étais ravie de pouvoir le lire, car ce roman était dans ma wish-list depuis ma lecture de la chronique de Sybil, alias Un brin de Syboulette. Puis cette envie s’est confirmée en lisant la chronique d’Anthony sur Les livres de K79.
Trancher est écrit à la deuxième personne du singulier. Ce qui m’a fait pensé à La condition pavillonnaire de Sophie Divry. La ressemblance entre les deux romans ne s’arrête pas à ce « tu » qui s’adresserait presque à toi. Dans le roman de Sophie Divry, sorte d’Emma Bovary contemporain, notre héroïne s’ennuie et n’est pas heureuse dans sa vie et dans son couple. Dans le roman d’Amélie Cordonnier, notre héroïne n’est pas heureuse non plus. Mais cela n’a rien à voir avec l’ennui.
Elle vit avec Aurélien. Et elle l’aime. Il est gentil. En apparence. Car il y a des nuages dans son histoires. Des insultes, des mots durs, qui rabaissent, blessent et détruisent. Alors elle part. Puis elle revient. Il s’est excusé. A promis. Ils ont fait un enfant. Puis un autre. Il faut dire qu’il a fait beau pendant sept ans. Et puis un matin, un orage. Une explosion. Qui a glacé tout le monde. A laissé les enfants horrifiés et notre héroïne à terre.
Alors elle note tous les mots. Les durs, qui rabaissent, blessent et détruisent. La violence. L’échéance de ses quarante ans se rapproche et elle se demande si elle va avoir le courage de partir. Sans revenir.
Trancher est un roman court. Ce qui est très bien, parce que je n’ai pas pu le lâcher avant de l’avoir terminé. Mais s’il avait été plus long, j’aurais aimé aussi. Même si je ne suis pas sûre que j’aurais pu rester plus longtemps en apnée. En apnée, parce que ce roman étouffe, il prend à la gorge. On a envie d’entrer dans l’histoire et d’aller prendre la main de l’héroïne pour la sortir de cette relation destructrice. Mais on ne peut pas. Et pourtant ce livre permet de découvrir l’histoire de l’intérieur. De comprendre pourquoi il n’est pas simple de se sortir d’une telle emprise. Et ça prend aux tripes.
« Des pages et des pages de notes. Tu as noirci des centaines de lignes de ses mots à lui. Pour garder une trace, tenter de les désamorcer, avec le pathétique espoir qu’ils aillent s’incruster ailleurs qu’en toi. » Cela faisait des années qu’elle croyait Aurélien guéri de sa violence,des années que ses...
« Des pages et des pages de notes. Tu as noirci des centaines de lignes de ses mots à lui. Pour garder une trace, tenter de les désamorcer, avec le pathétique espoir qu’ils aillent s’incruster ailleurs qu’en toi. » Cela faisait des années qu’elle croyait Aurélien guéri de sa violence,des années que ses paroles lancées comme des couteaux n’avaient plus déchiré leur quotidien. Mais un matin de septembre, devant leurs enfants ahuris, il a rechuté : il l’a de nouveau insultée. Malgré lui, plaide-t-il. Pourra-t-elle encore supporter tout ça ? Elle va avoir quarante ans le 3 janvier. Elle se promet d’avoir décidé pour son anniversaire. D’une plume alerte et imagée, Amélie Cordonnier met en scène une femme dans la tourmente et nous livre le roman d’un amour ravagé par les mots.
« Des pages et des pages de notes. Tu as noirci des centaines de lignes de ses mots à lui. Pour garder une trace, tenter de les désamorcer, avec le pathétique espoir qu’ils aillent s’incruster ailleurs qu’en toi. » Cela faisait des années qu’elle croyait Aurélien guéri de sa violence,des années que ses...
« Des pages et des pages de notes. Tu as noirci des centaines de lignes de ses mots à lui. Pour garder une trace, tenter de les désamorcer, avec le pathétique espoir qu’ils aillent s’incruster ailleurs qu’en toi. » Cela faisait des années qu’elle croyait Aurélien guéri de sa violence,des années que ses paroles lancées comme des couteaux n’avaient plus déchiré leur quotidien. Mais un matin de septembre, devant leurs enfants ahuris, il a rechuté : il l’a de nouveau insultée. Malgré lui, plaide-t-il. Pourra-t-elle encore supporter tout ça ? Elle va avoir quarante ans le 3 janvier. Elle se promet d’avoir décidé pour son anniversaire. D’une plume alerte et imagée, Amélie Cordonnier met en scène une femme dans la tourmente et nous livre le roman d’un amour ravagé par les mots.
« Des pages et des pages de notes. Tu as noirci des centaines de lignes de ses mots à lui. Pour garder une trace, tenter de les désamorcer, avec le pathétique espoir qu’ils aillent s’incruster ailleurs qu’en toi. » Cela faisait des années qu’elle croyait Aurélien guéri de sa violence,des années que ses...
« Des pages et des pages de notes. Tu as noirci des centaines de lignes de ses mots à lui. Pour garder une trace, tenter de les désamorcer, avec le pathétique espoir qu’ils aillent s’incruster ailleurs qu’en toi. » Cela faisait des années qu’elle croyait Aurélien guéri de sa violence,des années que ses paroles lancées comme des couteaux n’avaient plus déchiré leur quotidien. Mais un matin de septembre, devant leurs enfants ahuris, il a rechuté : il l’a de nouveau insultée. Malgré lui, plaide-t-il. Pourra-t-elle encore supporter tout ça ? Elle va avoir quarante ans le 3 janvier. Elle se promet d’avoir décidé pour son anniversaire. D’une plume alerte et imagée, Amélie Cordonnier met en scène une femme dans la tourmente et nous livre le roman d’un amour ravagé par les mots.
Qui est la mystérieuse femme qui hante les nuits de Bob Richard, animateur de radio à la Solitary Mountain ? En acceptant de s’exiler dans le Vermont pour y animer une émission de musique, cet albinos dépressif ne s’attendait pas à se retrouver la proie d’une auditrice déséquilibrée. Ses soupçons se...
Qui est la mystérieuse femme qui hante les nuits de Bob Richard, animateur de radio à la Solitary Mountain ? En acceptant de s’exiler dans le Vermont pour y animer une émission de musique, cet albinos dépressif ne s’attendait pas à se retrouver la proie d’une auditrice déséquilibrée. Ses soupçons se portent sur une jeune fille perdue surnommée « Lazy Bird ». Dans cette communauté perdue au cœur de la montagne solitaire, une menace plane, et l’étau se resserre inexorablement autour de Bob Richard.